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Par
Elektra 1 dans
Textes XX le
28 Juin 2011 à 19:50
Au petit matin
Se dessine l’aurore après mes louanges et ma prière,
Glissent les rosées doucement sur les pétales de fleurs,
S’instaurent les premières envies d’un rêve de croisière,
Et mon regard erre à travers les nues loin des rancœurs.
Invitée par un vent léger, je m’abandonne à l’imaginaire
Et dans le ciel bleu, je crois percevoir étrange lumière.
Oui, je suis toujours une enfant au fond de mon cœur !
Je me sens renaître et je m’abandonne à cette lueur !
Que de mois de souffrance vécus pour enfin me blottir
Dans ton sein. Je t’aime, ô ma douce et tendre mère !
Près de toi, je m’interdis de reculer, pleurer et souffrir
Je renais grâce à ta présence et ton sourire sincère.
Je puise ma force dans la fontaine de ta tendresse ;
Toi et mon père, êtes complices de ma jeunesse !
Je me nourris de votre amour et votre délicatesse
Et m’inspire de votre franchise et votre hardiesse !
Je n’ai jamais écrit de poèmes pour vous rendre
Hommage ; croyant que ce n’était pas nécessaire.
Me voilà dans le silence, je vois une goutte descendre
Sur la page, me dire de vous écrire mon amour sincère.
A toi papa
A toi maman
Mille mercis
@Aya
28-06-2011
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